Je, Ma Muse
Ingrid avec nous
L'espoir n'est pas dans le noir
Femme du soir
Face à la lune noire
Attend là-bas sur le trottoir
Lui viendra cachant son regard
Pour la combler de désespoir
Il se fait tard, c'est un autre rencard
Pour cette femme la nuit est un sombre couloir
Où la vie ne rime pas avec gloire et victoire
Ce n'est qu'à l'aube que reviendra l'espoir
Manque de temps pour écrire mais la suite est à
Manque de temps pour écrire
mais la suite est à venir, il s'agira de la suite de "Ce jour là..." !
bOnne sEmaine à touS
Ce jour là ...
_ Ce jour là ... _
Ma situation n'a rien d'unique, malheureusement.
Par où commencer, peut-être par le début ...
J'avais 14 ans, je rentrais de l'école, le bus venait de me déposer à l'arrêt près de la mairie. La musique dans les oreilles avec mon nouvel MP3, tous les bruits ne m'étaient pas perseptibles. Il n'y avait pas un chat ce jour là, pourtant le soleil était au rendez-vous. Je me rappelle très bien, je marchais tranquillement, le "cédez le passage" était à quelques mètres, je n'étais pas bien loins de chez moi.
Mon portable se met à vibrer dans ma poche, je retire mes oreillettes pour répondre, s'était ma mère pour savoir si je voulais qu'elle vienne me chercher à l'abribus. Biensûr j'ai refusé, c'étais trop tard ce jour là ... Une voiture arrivais derrière moi et une autre aussi en face de moi, je me mis sur le côté droit pour laisser passer celle d'en face. Derrière moi, comme la voiture semblait rouler doucement je me suis dis "Tiens ça doit être le voisin!". J'entendis alors une portière s'ouvrir, je me retourna alors pour voir de qu'il s'agissait, mais...
Mais, après ne me demandez pas ce qu'il sait passé aprés, c'est le "trou noir" comme le dit l'expression. Tout ce dont je me rappelle de ce qui suivit c'est de m'être retrouvé je ne sais comment dans une petite pièce, au mur vide ou presque, des inscriptions y apparaissaient, j'entrepris alors de prendre mon portable, ce fur mon premier réflexe, mais je m'apperçus très vite que mes mains étaient liée à l'aide d'une corde. Je me rappelle ne pas avoir compris dessuite ce qu'il m'arrivais, mais je criais, tout ce que mes cries produisaient étaient cet écho violent que j'ai dû apprivoiser. Dans ces moment là, on s'attache à tout ou plutôt à rien, je fixais la pièces dans laquelle je me trouvais assis par terre à côté d'un sot et d'un bol d'eau. Ce qui m'inquieta le plus fut le manque de porte au milieu de ce mur de briques. je me mis à rouler au sol pour m'approcher des incritures qui m'étaient floues jusqu'à présent. C'est en voyant ces inscriptions que je compris: Nicolas 4ans Mathilde 12ans Eric 7ans.
Mes larmes coulaient, je venais d'être kidnappé ...
Happy new Year
Les minutes passent, les heures aussi, les pages du calendrier se tournent.
Le temps est précieux mais rare, tout cela pour dire que je n'ais pas beaucoup de temps pour écrire mais pense à certaines nouveautés qui seront à venir dés que possibles: "L'ombre de la nuit" et l'autre le titre reste encore à définir.
Mais je vous souhaite déjà, en m'excusant pour mon retard, 1000 moments de joie, 500 éclats de rire, 250 bisous, 8 bonnes nouvelles et 250 sourrires de plus que l'année dernoère, puis si le compte est bon on est bien à 2008 !!!
*** Bleu Lotus ***
Des-illusions
Des-illusions
Le commencement
Déjà à l'adolescence je m'inventais une vie de star: journalistes, hordes de fans postés près de ma boîte aux lettres n'attendant rien d'autre qu'un signe de ma part, ou encore des paparazzis qui restaient plongés dans l'ombre pour avoir une photo "choc". Ainsi, il n'était pas anormal de me voir sortir de chez moi en souriant ou partant chercher mon courrier en donnant une interview à des journalistes imaginaires. Je ne suis pas fou vous savez, je m'inventais un univers qui m'était innaccessible. Après tout, qui n'a jamais rêvé de strass et paillettes une fois dans sa vie ? Je me rappelle, s'était un mardi après-midi je me prétais à mon habituelle séance de dédicaces, je m'amusais à signer des autographes et à prendre des photos avec des fans invisibles. Ma mère m'y surpris, ne sachant quoi dire, je lui expliqua la chose. Si seulement j'avais su ... Et voilà comme une semaine après je me trouvais coincé entre mon père et ma mère chez le psychologue. Deux séances passées, plusieurs dizaines d'euros dépenssés pour finalement s'entendre dire : "Manque d'affection, d'attention porté à l'enfant!". Depuis cet instant mes parents se rejettaient la faute, et chercher à comprendre je ne sais quoi.Deux rendez vous chez la psy ne m'ont apporté rien d'autre que le divorce de mes parents.
Mon dernier coup de coeur...
Mon dernier coup de coeur
Voila trois quarts d'heure que je fixais ma montre dans la salle d'attente.
Je m'étais volontairement placé face à la fenêtre. La nuit gagnait du terrain, mais j'arrivais à entrevoir le gros logo du centre commercial d'en face, les éclairage de noël me rappelaient mon enfance.
Je me trouvais entouré de magazines pour jeunes et de revues médicales lorsque j'entendis un léger raclement de gorge. La porte s'était ouverte, je relevais mes yeux sur des jambes fines, à moitié couvertes par une blouse blanche immaculée. Mon regard se posa sur ses yeux, elle venait de pleurer.
D'une voix sanglotante elle prononçait mon nom et me demandait de la suivre dans son cabinet.
Comme envoûté, je m'exécutais promptement et buvais ses paroles. Ella passa sa main dans ses cheveux en me demandant de quel mal je souffrais. Une mèche de sa cheveulure blonde tomba sur ses yeux bleus, sa blouse légèrement entre-ouverte laissait entrevoir sa gorge nue.
Je fermais les yeux quelques secondes, incapable de prononcer un mot, je saisis sa main, et la posa sur mon coeur qui battait pour la dernière fois.
J'aurais peut-être dû m'arrêter
Cela faisait maintenant quatre heures que je roulais.
Le brouillard venait de tomber de je ne sais où.
La condensation hantait mon pare-brise, je roulais et pourtant je ne voyais pas l'horizon.
Je risquais ma vie à chaque seconde, mais je roulais.
J'étais comme enveloppé, étouffé par ce brouillard épais, je sentis mon coeur oppressé, la fatigue commençait à me gagner, mes yeux voulaient se fermer, mais je luttais, je roulais.
J'aurais peut-être dû m'arrêter !
Les mains crispées sur le volant, je roulais ...
Aujourd'hui, c'est en fauteuil roulant que je roule, j'aurais peut-être dû m'arrêter ...